Stargate SG-1

De Stargate Wiki Sémantique
{{{titre}}}
Logo de la série (saisons 9 et 10)
Titre original'Stargate SG-1'
Type d'émissionsérie
Développé parBrad Wright
Jonathan Glassner
Écrit parJonathan Glassner
Hart Hanson
Katharyn Powers
Réalisé parMario Azzopardi
Dennis Berry
Allan Eastman
William Gereghty
Jeff Woolnough
Acteurs principauxRichard Dean Anderson
Claudia Black
Beau Bridges
Ben Browder
Don S. Davis
Christopher Judge
Corin Nemec
Michael Shanks
Amanda Tapping
Compositeur thème musicalJoel Goldsmith
Pays d'origineCanada
USA
Langue originaleAnglais
Nb. de saisons10
Nb. d'épisodes213
[[Liste des épisodes|Liste des épisodes]]
Production
Producteurs exécutifsRichard Dean Anderson
Robert C. Cooper
Jonathan Glassner
Michael Greenburg
Joseph Mallozzi
Paul Mullie
Brad Wright
ProducteursRobert C. Cooper
Joseph Mallozzi
Paul Mullie
Durée43 minutes par épisode
Compagnie de productionMGM Television (1997-2007)
Double Secret Productions (1997-2007)
Gekko Film Corp. (1997-2005)
Sony Pictures Television (2005-2006)
Diffusion
Chaine de première diffusionShowtime (saisons 1-5)
Sci Fi Channel (saisons 6-10)
Format image4:3 (TV, saisons 1-7)
16:9 (TV, saisons 8-10)
16:9 (DVD)
Première diffusion27 juillet 1997 – 13 mars 2007
Chronologie
Précédent Stargate, la Porte des étoiles Stargate : L'Arche de vérité Suivant
Émissions liéesStargate Atlantis (spin-off)
Stargate Universe (spin-off)
Site web

Stargate SG-1 ou La Porte des étoiles au Québec (aussi abrégé SG-1) est une série télévisée d'aventures militaires de science-fiction faisant partie de la franchise Stargate de la Metro-Goldwyn-Mayer. La série, créée par Brad Wright et Jonathan Glassner, est basée sur le film Stargate, la Porte des étoiles de 1994 de Dean Devlin et Roland Emmerich. La série télévisée a été tournée à Vancouver (Canada) et dans les environs. Aux États-Unis, Showtime a diffusé les cinq premières saisons de 1997 à 2002, puis la série est passée entre les mains de Sci-Fi Channel pour ses cinq dernières saisons de 2002 à 2007. Le dernier épisode a été diffusé sur la chaîne SkyOne au Royaume-Uni le 13 mars 2007, trois mois avant la diffusion aux USA. Avec dix saisons et 214 épisodes, Stargate SG-1 a dépassé X-Files : Aux frontières du réel en 2007, devenant la plus longue série télévisée de science-fiction nord-américaine diffusée en continu, avant de se faire dépasser par Smallville en 2011 avec 218 épisodes en dix saisons.

En France, la série a été intégralement diffusée à partir du 27 février 1998 au 13 novembre 2007 sur Série Club et entre le 18 septembre 1998 et le 8 décembre 2007 sur M6 sauf les 8 derniers épisodes de la saison 10 qui ne seront jamais diffusés[1], puis rediffusée sur W9[2], puis intégralement rediffusée depuis le 14 janvier 2010 sur NRJ 12. En Belgique, les huit premières saisons ont été diffusées sur La Une et les deux dernières saisons ont été diffusées sur La Deux. Au Québec, la série est diffusée sur Ztélé. En Suisse, la série a été diffusée sur TSR1 et TSR2.

L'histoire de Stargate SG-1 commence plus d'un an après les événements du film, lorsque le gouvernement des États-Unis découvre qu'un réseau d'appareils antiques extraterrestres appelés Portes des étoiles (Stargate dans la VO) permet la connexion à une multitude de planètes dans la Voie lactée, autorisant des voyages interstellaires quasi instantanés. Au fur et à mesure que la série avance, on découvre que ce réseau est non seulement capable d'atteindre des planètes de la Voie lactée, mais si on fournit une puissance suffisante, permet aussi de faire des voyages intergalactiques. Stargate SG-1 suit les aventures de l'escadron d'élite des forces spéciales de l'US Air Force SG-1, l'équipe porte-drapeau de la Terre explorant la galaxie et défendant la planète contre les menaces extraterrestres telles que les Goa'uld, les Réplicateurs et plus tard les Ori. La composition de l'équipe SG-1 est stable durant les cinq premières saisons de la série mais évolue sensiblement dans les saisons suivantes. La série explore et développe plusieurs mythologies anciennes de la Terre telles que les mythologies égyptienne, nordique et les légendes arthuriennes. Les films Direct-to-DVD Stargate : L'Arche de vérité et Stargate : Continuum achèvent les aventures de SG-1.

La série a joui d'une excellente audience à la fois sur Showtime et Sci Fi Channel, et fut populaire notamment en Europe et en Australie. Malgré certaines critiques peu enthousiastes, Stargate SG-1 a remporté bon nombre de récompenses et a été nominé à maintes reprises tout le long de la diffusion de ses dix saisons. Elle engendra aussi la série animée Stargate Infinity[3] en 2002, la série télévisée spin-off Stargate Atlantis en 2004, et enfin la série télévisée Stargate Universe en 2009. Dans les produits dérivés de Stargate SG-1, il y a des jeux, des jouets, des ouvrages imprimés ainsi qu'une série originale audio avec la voix de différents acteurs des séries.[4]

Vue générale de la série

Stargate SG-1 reprend la trame du film original de 1994 et suit les aventures à notre époque de SG-1, une équipe militaire venant de la Terre. SG-1 et la vingtaine d'équipes SG se rendent sur des planètes lointaines en utilisant un portail alien répondant au nom de Porte des étoiles (Stargate en anglais), appareil situé dans une base militaire top secrète de l'US Air Force portant le nom de Stargate Command (SGC) qui se trouve sous Cheyenne Mountain à Colorado Springs dans le Colorado. Dans les huit premières saisons, la mission des équipes SG est d'explorer la galaxie et de chercher des technologies et des alliés alien afin de défendre la Terre contre les Goa'uld, une race alien parasitique ressemblant à des serpents qui prennent des humains et les forcent à devenir leurs hôtes. Comme expliqué dans l'historique de la série, les Goa'uld ont déporté des esclaves humains de la Terre vers d'autres planètes habitables de la galaxie plusieurs milliers d'années auparavant et se font passer pour les dieux des mythologies antiques de la Terre, notamment ceux de la mythologie égyptienne. SG-1 finit par apprendre que des êtres humains extrêmement évolués, les Anciens, sont ceux qui ont bâti le réseau de Portes des étoiles il y a plusieurs millions d'années de cela, avant d'utiliser leur pouvoirs extraordinaires pour s'élever à un plan plus élevé de l'existence et depuis, ne plus interférer avec les vies des autres espèces. Les Ori, qui appartiennent à la même race d'êtres élevés que les Anciens mais qui utilisent leurs pouvoirs pour soumettre les autres espèces, les obligeant à adorer les Ori et à adhérer à une doctrine de fondamentalisme religieux, sont les principaux antagonistes des saisons 9 et 10.

Arc Goa'uld

L'épisode pilote (Enfants des dieux), situé chronologiquement plus d'un an après les événements du film original, introduit le grand-maître et principal antagoniste Apophis (Peter Williams) lorsqu'il attaque la base militaire terrestre via une Porte des étoiles mise au rebut et enlève un soldat. Le SGC est réactivé lorsque la Porte des étoiles se trouve être le maillon d'un réseau interplanétaire permettant l'accès à bon nombre de planètes. Des équipes SG sont créées afin de défendre la Terre contre les Goa'uld, qui eux disposent d'immenses vaisseaux interstellaires pyramidaux et d'armées de Jaffa (des esclaves humains servant d'incubateurs des Goa'uld) à leur service. L'équipe porte-drapeau de la Terre, SG-1, comprenant le primat (leader jaffa) déchu d'Apophis Teal'c, noue plusieurs alliances avec d'autres cultures au sein de la galaxie, comme une race semblable aux Goa'uld, mais quant à eux véritablement symbiotique, les Tok'ra, les Tollan qui sont des humains avancés technologiquement, les Nox qui sont des humanoïdes pacifistes, les Asgard qui sont des créatures débonnaires de type Roswell, et enfin quelques personnes issues des puissants Anciens. Une autre menace alien se pointe lors de l'épisode final de la saison 3 (Némésis), prenant la forme de machines intelligentes appelées Réplicateurs. Pendant ce temps, des agents sans scrupule faisant partie d'une agence de renseignement secrète de la Terre, le NID, tente à plusieurs reprises de prendre le contrôle de la Porte des étoiles et d'autres technologies aliens. Malgré la mort d'Apophis au début de la saison 5, l'empire goa'uld reste l'un des ennemis principaux dans Stargate SG-1 jusqu'à la fin de la saison 8. Le seul Goa'uld ayant de l'influence dans les deux dernières saisons de Stargate SG-1 est le grand-maître Ba'al (Cliff Simon), qui est vaincu dans le film direct-to-DVD Stargate : Continuum.

Arc Anubis

Après la défaite d'Apophis dans le premier épisode de la saison 5 (Ennemis jurés), le grand-maître goa'uld partiellement élevé Anubis (David Palffy) devient le principal antagoniste. Il possède une grande connaissance des Anciens et de leur technologie. Tandis que la Terre construit son premier vaisseau spatial interstellaire (le Prométhée) dans les saisons 7 et 8, Anubis crée un armée de guerriers Kull quasi-invincibles et fait le ménage au sein des grands-maîtres. Dans le dernier épisode double de la saison 7 (La Cité perdue), SG-1 découvre une arme puissante cachée un avant-poste Ancien situé en Antarctique qui détruit toute la flotte d'Anubis et prépare le terrain pour la série spin-off Stargate Atlantis. Ba'al s'accapare une bonne partie de la puissance d'Anubis dans la saison 8, tandis que ce dernier reprend secrètement le contrôle de ses forces. Non loin de la fin de la saison 8 (Pour la vie), on apprend que l'être élevée débonnaire Oma Desala (Mel Harris) est responsable de l'ascension originelle d'Anubis. Lorsqu'elle engage Anubis dans une bataille permanente éternelle sur le plan élevé pour empêcher son action sur le plan des mortels, les Réplicateurs et la majeure partie des grands-maîtres ont déjà été détruits, et les Jaffa sont enfin libérés du joug des Goa'uld.

Arc Ori

L'équipe originale SG-1 se disperse après les événements de la saison 8, mais elle se reforme progressivement sous le commandement du lieutenant-colonel Cameron Mitchell après avoir attiré l'attention des Ori, des êtres semblables aux Anciens et provenant d'une autre galaxie, découvrant qu'une forme de vie intelligente existe dans la Voie lactée. Alors que les Ori envoient des humains dotés de pouvoir appelés Prêcheurs dans la Voie lactée pour répandre une religion qui accroit le pouvoir des Ori, Ba'al et quelques Goa'uld mineurs infiltrent la Terre via la Confrérie (une coalition de membres dissidents du NID) pour rebâtir leur puissance. À la fin de la saison 9 (La Première Vague), les Ori entament leur croisade religieuse avec leurs vaisseaux de guerre et se débarrassent sans effort de la résistance menée par les flottes terriennes et leurs alliés. Le leader des Ori, Adria (Monica Baccarin), apparait dans le premier épisode de la saison 10 (L'Oricy). SG-1 se met en quête du Saint-Graal, une arme ancienne capable de vaincre les Ori, tandis que Ba'al et ses clones tentent aussi de retrouver l'arme pour leur propre objectif. Avec l'aide de Merlin (Matthew Walker), un Ancien très puissant, SG-1 trouve les plans de construction du Saint-Graal et envoie une version opérationnelle de l'arme dans la galaxie des Ori. Peu après, Adria effectue son ascension. Le film direct-to-DVD Stargate : L'Arche de vérité conclut l'arc Ori.

Distribution

  • Richard Dean Anderson (voix française Edgar Givry) dans le rôle de Jonathan « Jack » O'Neill (principal dans les saison 1-8, récurrent dans les saisons 9-10) — Un colonel de l'US Air Force vétéran des forces spéciales qui a dirigé la première mission au travers la Porte des étoiles dans Stargate, la Porte des étoiles (interprété dans le film par Kurt Russell). Il sort de sa retraite et reprend du service dans l'épisode pilote, et devient responsable de l'équipe SG-1 pendant les sept premières saisons. Il prend le commandement du Stargate Command (SGC) après sa promotion de brigadier général au début de la saison 8. La série fait régulièrement des allusions sur les sentiments qu'éprouve O'Neill envers son officier en second Carter, mais la relation n'est jamais montrée au grand jour et n'est consommée visuellement qu'au travers d'histoires se déroulant dans des réalités parallèles ou des lignes de temps altérées. O'Neill est muté à Washington avant la saison 9 et se trouve promu major général. Il apparait de façon récurrente dans les saisons 9 et 10 de Stargate SG-1 ainsi que dans Stargate : Continuum et dans les saisons 1 et 3 de Stargate Atlantis. O'Neill apparait aussi en tant que lieutenant général dans plusieurs épisodes de Stargate Universe, où il se trouve à la tête du département du Système de défense terrien.
  • Michael Shanks (voix française William Coryn) dans le rôle de Daniel Jackson (principal dans les saison 1-5 puis 7-10, récurrent dans la saison 6) — Un égyptologue brillant défendant des théories selon lesquelles les pyramides d'Égypte ont été construites par des aliens et qui s'est retrouvé embarqué dans la première mission Porte des étoiles dans le film (interprété par James Spader). Il rejoint l'équipe SG-1 afin de pouvoir retrouver plus facilement sa femme enlevée par Apophis dans l'épisode pilote, mais sa naïveté et sa curiosité crée des obstacles pour l'équipe.[5] Il évolue progressivement de sa fonction d'archéologue et linguiste pour devenir la conscience morale de l'équipe,[6] et resta au sein de SG-1 jusqu'à ce qu'il s'élève à un plan plus élevé de l'existence à la fin de la saison 5. Suite à sa désascension au début de la saison 7, il retrouve SG-1 pour le reste de la série. Les trois dernières saisons montrent sa relation « je t'aime, moi non plus » avec Vala Mal Doran.[5] Daniel apparait aussi dans les deux films Direct-to-DVD, dans les saisons 1 et 5 de Stargate Atlantis et dans trois épisodes de Stargate Universe.
  • Amanda Tapping (voix française Hélène Chanson) dans le rôle de Samantha « Sam » Carter (principale dans les saisons 1-10) — Une jeune et brillante astrophysicienne[7] et capitaine au sein de l'US Air Force qui rejoint SG-1 sous le commandement du colonel O'Neill dans l'épisode pilote. Suite à sa promotion au grade de major dans la saison 3, elle est promue lieutenant-colonel au début de la saison 8 et prend le commandement de SG-1. La série fait régulièrement des allusions sur les sentiments qu'éprouve Carter envers son officier supérieur O'Neill, mais la relation n'est jamais montrée au grand jour et n'est consommée visuellement qu'au travers d'histoires se déroulant dans des réalités parallèles ou des lignes de temps altérées. Carter assiste le lieutenant-colonel Cameron Mitchell dans les saisons 9 et 10. Après son apparition dans Stargate : L'Arche de vérité, elle est promue colonel et devient la nouvelle responsable de l'expédition Atlantis dans la saison 4 de Stargate Atlantis avant de retrouver SG-1 une nouvelle fois dans Stargate : Continuum. Carter apparait de façon récurrente dans toutes les saison de Stargate Atlantis (distribution principale dans la saison 4) et dans deux épisodes de Stargate Universe.
  • Christopher Judge (voix française Thierry Mercier) dans le rôle de Teal'c (principal dans les saisons 1-10) — Un alien Jaffa fort et discret qui quitte sa position de Prima du Goa'uld Apophis. Il se joint à SG-1 après l'épisode pilote dans l'espoir de conduire sa race à la liberté. Bien qu'il ait atteint son objectif à la fin de la saison 8, il demeure membre de SG-1 jusqu'à la fin de la série. Il apparait aussi dans les deux films direct-to-DVD ainsi que dans la saison 4 de Stargate Atlantis.
  • Don S. Davis (Voix françaises Albert Augier puis Michel Ruhl) dans le rôle de George Hammond (principal dans les saisons 1-7, récurrent dans les saisons 8-10) — un major général de l'US Air Force (promu plus tard lieutenant-général) qui dirige le Stargate Command durant les sept premières saisons. Davis est mort d'une crise cardiaque en juin 2008, faisant de son apparition dans Stargate : Continuum la dernière.[8]
  • Corin Nemec (voix française Lionel Tua) dans le rôle de Jonas Quinn (principal dans la saison 6, récurrent dans les saisons 5 et 7) — Un scientifique humanoïde alien provenant du pays de Kelowna sur la planète Langara. Daniel se sacrifie (conduisant à son ascension) à la fin de la saison 5 afin de sauver Kelowna, mais la réaction jubilatoire des leaders kelowniens qui suivit poussa Jonas à tourner le dos à Langara. Jonas apprend très vite et comble le vide laissé par Daniel dans SG-1 à la fin de la saison 5 dans la saison 6. Après le retour de Daniel, Jonas retourne sur sa planète et redevient un personnage récurrent dans la saison 7.
  • Ben Browder (voix française Maurice Decoster) dans le rôle de Cameron « Cam » Mitchell (principal dans les saisons 9-10) — Un lieutenant-colonel de l'US Air Force qui est promu nouvel officier commandant de SG-1 au début de la saison 9. Il fait des pieds et des mains pour récupérer les anciens membres de SG-1 sous ses ordres et commande l'équipe (avec l'assistance du lieutenant-colonel Carter) jusqu'à la fin de la saison 10. Il est promu colonel entre ses apparences dans Stargate : L'Arche de vérité et Stargate : Continuum.
  • Beau Bridges (voix française José Luccioni) dans le rôle d'Henry « Hank » Landry (principal dans les saison 9-10) — Un major général de l'US Air Force promu commandant du Stargate Command dans les saisons 9 et 10. Il est le père de la responsable médicale du SGC Carolyn Lam avec qui il s'était brouillé auparavant. Il apparait dans les deux films direct-to-DVD ainsi que dans les saisons 2 et 3 de Stargate Atlantis.
  • Claudia Black (voix française Laurence Charpentier) dans le rôle de Vala Mal Doran (principale dans la saison 10, récurrente dans les saisons 8-9) — Une arnaqueuse provenant d'une planète inconnue et ancienne hôte de la Goa'uld Qetesh. Sa première apparition dans l'épisode de la saison 8 En détresse est le point de départ de sa relation sulfureuse pourtant antagoniste avec Daniel.[5] Lors de son apparition récurrente dans la saison 9, elle et Daniel initient involontairement la nouvelle menace Ori. Elle rejoint SG-1 après avoir donné naissance à la nouvelle leader des Ori au début de la saison 10 et apparait dans les deux films direct-to-DVD.

Production

Conception

Brad Wright a créé Stargate SG-1 avec Jonathan Glassner.

Brad Wright et Jonathan Glassner ont déjà travaillé ensemble sur la série télévisée de MGM Au-delà du réel : L'aventure continue depuis 1995. Après avoir entendu parler du projet de MGM de créer une série télévisée spin-off du film Stargate, la Porte des étoiles, Wright et Glassner travaillèrent chacun de leur côté sans se concerter et se rapprochèrent de MGM pour proposer leur concept de série télévisée. Le président de la MGM John Symes donna son feu vert pour le projet à la condition que Wright et Glassner travaillent ensemble comme producteurs exécutifs de la série.[6] La série fut baptisée Stargate SG-1 après que Wright ait argumenté avec Symes la raison pour laquelle l'équipe devait être appelée « SG-1 ». MGM a publié des affiches intitulées Stargate SG-1 sans que Wright ou Glassner le sache.[9]

John Symes approcha Michael Greenburg et Richard Dean Anderson de la série à succès MacGyver.[6] Anderson accepta de s'impliquer dans le projet à condition que son personnage Jack O'Neill puisse être beaucoup plus léger que le personnage interprété par Kurt Russell dans le film. Il a aussi demandé que Stargate SG-1 soit plus un ensemble et qu'il n'ait pas à porter seul la série comme c'était le cas dans MacGyver.[10] La chaîne à péage Showtime fit une commande de deux saisons de 44 épisodes au total en 1996.[6] Le tournage débuta à Vancouver en février 1997.[11]

Casting et évolutions de casting

après qu'Anderson ait accepté le rôle, Brad Wright et Jonathan Glassner visionnèrent plusieurs milliers d'auditions enregistrées et invitèrent environ 25 acteurs prometteurs pour faire des tests sur écran à Los Angeles.[12] On a dit que Michael Shanks, Amanda Tapping et Christopher Judge se sont rapprochés durant le processus de casting avant même de savoir qu'ils seraient finalement pris.[13] Les producteurs ont trouvé que Judge était le plus facile à prendre grâce à sa musculature présente.[6] Shanks a été pris car il a fait « l'imitation parfaite de James Spader » d'après Wright.[6] Les producteurs connaissaient déjà Don S. Davis pour avoir été la doublure de Dana Elcar dans MacGyver et se rapprochèrent de lui pour qu'il lise pour le rôle de George Hammond.[14][15]

L'annonce de Showtime de ne pas renouveler Stargate SG-1 après la saison 5 coïncida avec la décision de Michael Shanks de quitter la série car il pensait son personnage sous-utilisé,[16] mais Sci Fi Channel décida de poursuivre la série et de combler le vide avec un nouveau personnage. Les directeurs de casting rencontrèrent Corin Nemec dans la cour des bureaux de Stanta Monica par hasard et lui offrirent le rôle de Jonas Quinn.[17] Même si les premières apparitions de Nemec qui ont débuté avec l'avant-dernier épisode de la saison 5 Zénith ont provoqué une forte méfiance après des fans loyaux,[16] Nemec était ouvert pour continuer à interpréter le personnage après la saison 6 ou dans un film cinéma ou bien même une série spin-off.[17] Cependant, les producteurs ont décroché un nouveau contrat avec Michael Shanks pour que celui-ci retourne à plein temps dans la saison 7, laissant Nemec avec un rôle récurrent.[18] Don S. Davis décida de quitter Stargate SG-1 après la saison 7 pour raisons de santé[19] mais réapparut de façon récurrente jusqu'à sa mort le 29 juin 2008.

À cause d'engagements précédents, Claudia Black de la série à succès Farscape ne pouvait pas accepter l'offre d'être guest-star dans Stargate SG-1 jusqu'à l'épisode de la saison 8 En détresse.[20] Les producteurs ont tellement apprécié l'alchimie visible à l'écran entre la Vala Mal Doran de Black et le Daniel de Shanks qu'ils la replacèrent dans un arc narratif de six épisodes pour couvrir le congé maternité d'Amanda Tapping au début de la saison 9.[21] Dans le même temps, Richard Dean Anderson quitta la série pour passer plus de temps avec sa fille (son planning a été réduit de façon progressive depuis la saison 6).[22] Son rôle de leader fut comblé par Ben Browder (venant aussi de Farscape), qui a rencontré les producteurs de Stargate dès que l'on parla de la mise en place de nouveaux personnages pour la saison 9.[23] Les producteurs l'avaient déjà rencontré lors de conventions de science-fiction et avaient déjà pensé à l'engager pour d'autres personnages Stargate.[24] Les producteurs ont directement approché Beau Bridges pour jouer le rôle de Hank Landry.[25] Les apparitions de Claudia Black eurent tellement de succès auprès des acteurs principaux, de l'équipe et des spectateurs[21][26] que l'actrice est retournée pour les deux derniers épisodes de la saison 9 (avec sa grossesse prise en compte dans l'histoire), et fit partie de la distribution principale dans la saison 10.

Équipe de tournage

Robert C. Cooper devint show runner de SG-1 à partir de la saison 7.

La majeure partie des producteurs, membre de l'équipe et des acteurs invités de Stargate SG-1 étaient canadiens.[27] Les créateurs Brad Wright et Jonathan Glassner furent les producteurs exécutifs et show runner de Stargate SG-1 les trois premières saisons, ayant le dernier mot (après MGM et le network) sur les histoires, les concepts, les effets, la distribution, le montage et le budget des épisodes.[28] Après le départ de Glassner, Wright géra Stargate SG-1 seul pendant trois saisons. D'après les crédits de fin, le producteur exécutif Robert C. Cooper devint le show runner dès la saison 7 quand Wright prit du temps pour développer la série spin-off Stargate Atlantis.[29] Cooper et Wright conservèrent leur statut de show runner de leurs séries respectives jusqu'à la fin de SG-1.[30] Travaillant aussi comme producteurs exécutif et coproducteur exécutif, il y avait aussi Michael Greenburg et Richard Dean Anderson (saisons 1-8), N. John Smith (saisons 4-10) et la paire scénaristique Joseph Mallozzi et Paul Mullie (saisons 7-10).

Même si Stargate SG-1 employa des scénaristes freelance, la plupart des 214 épisodes de Stargate SG-1 ont été écrits par Brad Wright (saisons 1-10), Jonathan Glassner (saisons 1-3), Katharyn Powers (saisons 1-6), Robert C. Cooper (saisons 1-10), Peter DeLuise (saisons 4-8), Joseph Mallozzi et Paul Mullie (saisons 4-10), Damian Kindker (saisons 6-10) et Alan McCullough (saisons 9-10). Martin Wood et Peter DeLuise réalisèrent le plus d'épisodes, avec respectivement 46 épisodes (saisons 1-10) et 57 épisodes (2-10). Wood et DeLuise firent régulièrement des apparitions dans leurs épisodes et jouèrent notamment les réalisateurs de « la série dans la série » dans les deux épisodes jalons Wormhole X-Treme et Wormhole X-Treme, le film. Andy Mikita fut assistant réalisateur depuis l'épisode pilote et réalisa 29 épisodes de la saison 3 à la saison 10. Le directeur de la photographie Peter F. Woeste et l'opérateur caméra William Waring réalisèrent 13 épisodes chacun. La plupart des scénaristes et des réalisateurs de l'équipe tinrent des positions de producteur. Plusieurs membres de la distribution apportèrent aussi des idées d'histoire et réalisèrent des épisodes de SG-1.

Tournage

Stargate SG-1 a été tourné aux Bridge Studios à Burnaby en Colombie-Britannique, Canada.

Stargate SG-1 a été tourné à Vancouver et dans ses environs, principalement aux Bridge Studios et aux NORCO Studios,[31][32] ce qui a permis à Stargate SG-1 de bénéficier de déductions de taxes tout le temps de son tournage.[27] Le coût d'un épisode de SG-1 est passé de 1,3 millions de dollars US[33] pour les premières saisons à environ 2 millions de dollars US pour un épisode de la saison 10, ceci à cause notamment du taux de change moins favorable.[27][34] Bon nombre d'espaces de Vancouver ont été incorporés dans les épisodes comme notamment le campus de l'université Simon Fraser, qui est devenu le décor de la capitale d'une civilisation alien.[35] La production a dû faire face à la météo défavorable liée au climat océanique modéré de Vancouver, quoique la pluie pouvait malgré tout être éliminée de la pellicule. L'épisode Le Crâne de cristal de la saison 3 fut le premier épisode à être tourné sur fond vert.[31]

Le principal décor de Stargate SG-1, le Stargate Command (SGC) situé dans la base de l'USAF Cheyenne Mountain près de Colorado Springs (Colorado), a été filmé dans le hangar 5 des Bridge Studios.[32] Martin Wood a tourné une demi-douzaine de séquences en extérieur du véritable complexe de Cheyenne Mountain pour l'utiliser dans la série seulement une dizaine de jours avant la première diffusion de l'épisode pilote. Ces prises de vue ont été utilisées pendant huit années, les producteurs n'en n'ayant pas fait de nouvelles avant le début de la saison 9 pensant que Stargate SG-1 serait annulé à la fin de chaque saison.[36][37] De ce fait, les questions de visiteurs ainsi que les théories de fans concernant l'existence d'une Porte des étoiles dans le véritable complexe de Cheyenne Mountain sont tellement devenues monnaie courante que la base a installé une porte factice de haute sécurité avec un panneau « Stargate Command » donnant accès à l'un des placards à balais.[38]

Les sept premières saisons comptèrent 22 épisodes chacune, nombre qui a été réduit à 20 pour les trois dernières. Chaque épisode des premières saisons a été tourné sur une période d'environ 7,5 jours ouvrés, période qui est descendue progressivement à six jours ouvrés pour les dernières saisons.[39] Tous les épisodes ont été tournés au format 16/9 bien que les sept premières saisons de Stargate SG-1 ont été diffusées au format 4/3 à la télévision.[40] La transition de la diffusion TV au format large 16/9 donna aux réalisateurs plus de liberté dans la composition de l'image.[41] Les trois premières saisons de Stargate SG-1 ont été tournées en film 16 mm, néanmoins les scènes nécessitant des effets visuels ont été pour diverses raisons techniques toujours tournées en film 35 mm. Après un galop d'essai avec le dernier épisode de la saison 3 (Némésis), Stargate SG-1 bascula en 35 mm total dès le début de la saison 4.[42] Les caméras numériques haute définition furent utilisées pour le tournage dès le début de la saison 8.[39]

Décors et accessoires

Le département artistique a défini tous les concepts et dessins pour les départements accessoires, décors, construction, peinture et modèles. Ils ont aussi collaboré avec le département des effets visuels.[31] Stargate SG-1 a employé près de 200 ouvriers canadiens, ce nombre dépassant parfois les 300 lors de la construction de nouveaux décors.[27] Le chef décorateur Richard Hudolin regoignit le projet en octobre 2016. Bridget McGuire, directrice artistique de SG-1 depuis l'épisode pilote, reprit le poste de chef décoratrice à la saison 6.[11][43]

Hudolin s'envola pour Los Angeles en 1996 afin de récupérer le matériel provenant du film pour servir de base et trouva l'accessoire qui servit de Porte des étoiles stocké à l'extérieur dans le désert californien. Bien que l'accessoire était dans un état de détérioration avancé, il put malgré tout en faire un moule détaillé pour que la production de Stargate SG-1 puisse construire son propre accessoire. La nouvelle Porte des étoiles fut conçue pour tourner et verrouiller les chevrons, le tout depuis un ordinateur afin de pouvoir appeler des adresses de portes selon les demandes. Un modèle de Porte des étoiles portable fut construit pour les tournages en extérieur et exigeait la main d’œuvre de six ouvriers pour la monter en une journée complète.[6][11] Vu que les effets visuels sont quelquefois moins chers et plus rapides à produire,[11] une Porte des étoiles conçue par ordinateur fut utilisée de temps à autre en extérieur dans les dernières saisons.[44]

Le plateau de tournage du SGC devait avoir une hauteur double afin de pouvoir prendre la Porte des étoiles qui faisait 6,7 mètres de hauteur, [12] mais l'un des projets originaux de Hudolin de plateau sur trois niveaux fut rejeté en faveur d'un plateau sur seulement deux niveaux.[11] La salle d'embarquement était la pièce la plus grande du plateau et pouvait être transformée pour d'autres scènes.[44] Deux salles multi-fonctions étaient fréquemment redécorées pour devenir l'infirmerie, le laboratoire de Daniel, la cafeteria voire même la salle de remise en forme.[11][45] Le plateau du SGC ainsi que les autres plateaux de l'épisode pilote furent construits en six semaines de janvier à février 1997 et continrent des morceaux du décor original du film.[11] Le décor du SGC fut démonté en grande partie fin 2008 pour faire place au plateau de la base Icare de Stargate Universe.[46]

Maquillage et costumes

La majeure partie des personnages de SG-1 sont des soldats américains et portent des uniformes authentiques de l'US Air Force. Durant leurs missions, les membres de SG-1 portent des uniformes de combat vert olive.[47] Richard Dean Anderson et Don S. Davis avaient coupe de cheveux militaire règlementaire sur le plateau.[48][49] Amanda avait les cheveux coupés court de la même façon jusqu'au tournage des deux films « direct-to-DVD ». Comme il jouait un civil, Michael Shanks adopta la coupe de cheveux qu'avait James Spader dans le film et les raccourcit à la fin de la saison 2 et dans les saisons qui suivirent. L'alien jaffa Teal'c (Christopher Judge) fut le seul personnage principal nécessitant un peu plus qu'un maquillage de base. Son look égyptien correspondait au Goa'uld du film et fut complété d'un symbole sur le front sur une peau au teint doré, mais le maquillage fut simplifié au fil des ans.[50] Judge devait se raser la tête tous les matins jusqu'à ce que les producteurs l'autorisent enfin à laisser pousser ses cheveux dans la saison 8.[48] Infirmière chevronnée, la maquilleuse Jan Newman pouvait faire des brûlures, des coupures, des bleus et toutes sortes d'autres blessures sur les acteurs plus vraies que nature.[50]

Concernant l'apparence des aliens, le département maquillage collabora avec des compagnies prosthétiques de Vancouver et Los Angeles, ainsi que Todd Masters. Tandis que les origines humaines de bon nombre de races aliens et de civilisations humaines ne nécessitait pas ou peu de retouche, la race récurrente des Unas demanda la fabrication de prothèses ainsi que pas mal de maquillage.[50] Pour copier le développement indépendant des civilisations humaines après leur expatriation de la Terre, les concepteurs des costumes prirent des éléments des différentes cultures terriennes et les combina avec des éléments modernes, élaborèrent des ornements et des colliers qui donneraient un cachet historique mais aussi une apparence d'un autre monde.[51] L'aspect des Goa'uld comme Apophis fut basé principalement sur le du film.[50] Pour l'aspect des Ori et des Prêcheurs dans la saison 9, le département artistique a puisé son inspiration dans les habits japonais et samouraï pour les costumes. Le directeur artistique James Robbins dénicha les peintures, les scarifications et les brûlures au visage sur des tribus mystiques de la jungle profonde, et s'en inspira pour les scarification du visage des Prêcheurs et du Doci. Il faut aussi question d'extension de doigts et de scarification sur les mains au tout début, mais tout cela a été abandonné car irréaliste.[52]

Effets visuels

Références

  1. Kio, « M6 et Stargate: clap de fin », sur Stargate Fusion,‎ (consulté le 15 décembre 2013)
  2. Kio, « Stargate Sg1 débarque sur W9 », sur Stargate Fusion,‎ (consulté le 15 décembre 2013)
  3. Sur Stargate Wiki Sémantique, Stargate Infinity n'est pas considéré comme faisant partie du canon Stargate, mais comme étant une continuité indépendante.
  4. Sur Stargate Wiki Sémantique, tous les produits dérivés (y compris les jeux, les livres, etc.) ne sont pas considérés comme faisant partie du canon Stargate.
  5. 5,0 5,1 et 5,2 Steven Eramo, « Michael Shanks – Curious Mind », TV Zone, no Special 64,‎ , p. 40–42
  6. 6,0 6,1 6,2 6,3 6,4 6,5 et 6,6 Wright, Brad; Glassner, Jonathan; Greenburg, Michael; Anderson, Richard Dean; Shanks, Michael - Stargate SG-1: Season 3 – Timeline To The Future – Part 1: Legacy Of The Gate [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2001
  7. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées booker_181
  8. David Sumner, « Don S. Davis: 1942-2008 », sur GateWorld,‎ (consulté le 18 mai 2012)
  9. Wright, Brad - Stargate SG-1: Season 9 – Profile On: Brad Wright [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2006
  10. Steven Eramo, « Richard Dean Anderson – Mr Anderson – Colonel O'Neill », TV Zone, no Special 46,‎ , p. 4–9
  11. 11,0 11,1 11,2 11,3 11,4 11,5 et 11,6 Hudolin, Richard - Stargate SG-1: Season 3 – Production Design: Richard Hudolin [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2001
  12. 12,0 et 12,1 Wright, Brad et Glassner, Jonathan - Stargate SG-1: Season 3 – Producing Stargate [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2001
  13. Shanks, Michael - Stargate SG-1: Season 3 – Profile On Daniel Jackson [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2001
  14. Davis, Don. S - Stargate SG-1: Season 3 – Profile On General Hammond [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2001
  15. David Read, « Intimate Portrait – GateWorld talks with Don S. Davis (Part 1) », GateWorld,‎ (consulté le 18 mai 2012)
  16. 16,0 et 16,1 Storm 2005, pp. 61–63.
  17. 17,0 et 17,1 Steven Eramo, « Corin Nemec – Jonas Quinn », TV Zone, no Special 46,‎ , p. 22–26
  18. « Stargate Cast Returning », scifi.com,‎ (consulté le 1er novembre 2008)
  19. David Read, « Intimate Portrait – GateWorld talks with Don S. Davis (Part 2) », GateWorld,‎ (consulté le 29 décembre 2008)
  20. « Vala Unveiled », Official Stargate Magazine,‎ , p. 20–21
  21. 21,0 et 21,1 Illeane Rudolph, « Black Is Back », TV Guide, no February 27 – March 5, 2006,‎ , p. 41
  22. Gibson 2003, p. 66, p. 117.
  23. Steven Eramo, « Ben Browder – Work in progress », TV Zone, no Special 64,‎ , p. 12–16
  24. Joseph Mallozzi, « In the Making – Avalon Part 1 », GateWorld,‎ (consulté le 7 mars 2009)
  25. Steven Eramo, « Beau Bridges – Helping Bridge the Gap », TV Zone, no Special 64,‎ , p. 50–52
  26. Darren Sumner, « I, Claudia – GateWorld talks with Claudia Black », GateWorld,‎ (consulté le 14 janvier 2008)
  27. 27,0 27,1 27,2 et 27,3 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées vs_success
  28. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées gw_brad
  29. « Will SG-1 gate to Season Nine? », GateWorld,‎ (consulté le 25 mars 2009)
  30. Darren Sumner, « New seasons begin filming in Vancouver », GateWorld,‎ (consulté le 25 mars 2009)
  31. 31,0 31,1 et 31,2 Hudolin, Richard; Greenburg, Michael; Smith, N. John - Stargate SG-1: Season 3 – Timeline To The Future – Part 2: Secrets Of The Gate [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2001
  32. 32,0 et 32,1 (en) Sumner, Darren & Read, David, « Stargate Universe begins principal photography », GateWorld,‎ (consulté le 18 février 2009)
  33. (en) John Dempsey, « 'Stargate' levitates », Variety,‎ (consulté le 26 mars 2009)
  34. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées mcn_200
  35. (en) Heckman, Candace and Chansanchai, Athima, « Vancouver: A sci-fi film and TV fan's paradise », Seattle Post-Intelligencer,‎ (consulté le 21 mars 2009)
  36. Mallozzi, Joseph, Gero, Martin - Commentaire audio de [[Épisode:Ce lien qui nous unit...|Ce lien qui nous unit...]] [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2006
  37. Wood, Martin - Stargate SG-1 : Saison 7 – Commentaire audio de [[Épisode:Retour aux sources, 1re partie|Retour aux sources, 1re partie]] [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2004
  38. Wood, Martin; Tapping, Amanda - Stargate : L'Arche de vérité – Stargate au Comic-Con [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2008
  39. 39,0 et 39,1 Waring, Will and Menard, Jim - Stargate SG-1 Saison 8 – Commentaire audio pour [[Épisode:Quarantaine (Stargate SG-1)|Quarantaine]] [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2005
  40. Woloshyn, Bruce - "A Day At Rainmaker – GateWorld talks with Bruce Woloshyn ,‎ (consulté le 26 mars 2009)
  41. Waring, Will and McCullough, Alan - Stargate SG-1 Saison 10 – Commentaire audio de l'épisode [[Épisode:La Symbiose du mal|La Symbiose du mal]] [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2007
  42. Tichenor, James - Stargate SG-1: Saison 4 – Commentaires audio pour [[Épisode:Victoires illusoires|Victoires illusoires]] [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2001
  43. Gibson 2003, p. 130.
  44. 44,0 et 44,1 Wood, Martin and Tichenor, James - Stargate SG-1: Saison 4 – Commentaires audio pour [[Épisode:Expérimentation hasardeuse|Expérimentation hasardeuse]] [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2001
  45. Wood, Martin - Stargate SG-1: Saison 6 – Commentaires audio pour [[Épisode:Rédemption, 1re partie|Rédemption, 1re partie]] [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2003
  46. Joseph Mallozzi, « January 20, 2009: The Return of Norman Shuttlecock Junior », WordPress,‎ (consulté le 21 janvier 2009)
  47. Science Fiction in the Cinema – Stargate , Discovery Channel,‎ 2006
  48. 48,0 et 48,1 Steven Eramo, « Christopher Judge – Judge For Yourself », TV Zone, no Special 58,‎ , p. 28–32
  49. Gibson 2003, p. 144.
  50. 50,0 50,1 50,2 et 50,3 Steven Eramo, « Jan Newman – Born With It – Make-up », TV Zone, no Special 46,‎ , p. 62–65
  51. McQuarrie, Christina - Stargate SG-1: Season 3 – Costume Design: Christina McQuarrie [DVD], MGM Home Entertainment,‎ 2001
  52. Steven Eramo, « Stargate SG-1 Season 9 preview - Nine Lives », TV Zone, no Special 64,‎ , p. 24–30; 44–48 56–60